I transcribed a three minute French audio story and translated the story into English.
FRENCH
Pres de Florence, sous les treilles, Saint Cascia le montre au passant ce villa pleine de merveille, ses maisons au toits rougissants. Dans une paisible famille y fleurissait dans ce temps la une celeste jeunne fille qu’on appelait Dianora. C’est l’histoire qui dit cela.
Jamais la divine lumiere l’avait dore’ de fonds plus pure. Jamais deux yeux humains sur terre l’avait laisser voir tant d’azur. Elle avait le profile etrange des salles dans les vieux tableaux et lorsque nous revons d’un ange nous lui voyons des traits moins beau. On peut croire que j’exaggere. Mais vous saurez que par hazard avant de l’enfanter sa mere avait tout ditonsditons un regard pour cette Madonne de pierre l’on voit a l’Annonziata. Sa beaute lui venait de la. C’est l’histoire qui dit cela.
Dans sa taille et dans son visage, Dianora resemblait tant a cette virginale image qu’on se signait en la voyant. Elle avait sa grace severe, son front rayonnant et beni. Mais on dit que que, come elle aussi la belle avait un coeur de pierre.
Tout Florence la celebrait. La jeunesse en foule a coure’ pour voir un instant apparaitre sa blonde tete a la fenetre. Les plus nobles avaient passe devant elle sans la seduire. Sans obtenir un seul sourire le Duc meme ont fut repousser. La belle reste froide et fiere. La belle avait un coeur de pierre.
Mais un petit berger passa. C’est l’histoire qui dit cela.
La patre, la voyant si belle, si calme avec, des yeux si doux, cru voir la Madonne eternelle et tomba sur les deux genoux. Depuis ce jour, reverissons y nous plus pour tout horizon que l’amble toit de sa maison et pour tout soleil que son ombre.
Le pauvre petit, il pensait a cette vision cherie, il oubliait champs et prairies et le troupeau deperissait. La belle restait froide et fiere. La belle avait un coeur de pierre.
Le berger la de tant souffrir, voulut mettre fin a sa peine. Il tenait d’une bohemienne, un mysterieux elixir qui versait une mort certaine. Et bien decide’ d’en finir, il voulut encore revoir celle d’ou venait toutes ces douleurs. Lorsqu’il se trouva devant elle, il lui dit, “Je t’aime, et je meurs.”
Possible plus a ce cri terrible le coeur jusqu’a l’or insensible de Dianora tresaille. Soudain une flame inconnue allume la froide statue. Du patre qui déjà pallit elle prend la main et lui dit. “Ah ne meurt pas, ami! Je t’aime!” Et la mort a ce mot supreme. C’est l’histoire qui dit cela, la mort aussi te recula.
Les esprits forts fils du blaspheme qui jamais ne respectent rien, dirons que l’honette sorciere l’avait fait prendre au pauvre air pour du poison que de l’eau claire. Mais tous ceux qui savent combien amour a pu briser d’obstacle, croirons que seule il suffit bien pour accomplir de telle miracle.
ENGLISH
Near Florence, under the trellised vineyards, Saint Cascia passed through this villa full of wonder, its houses with reddening roofs. In a peaceful family there flourished at that time a celestial young girl we will call Dianora. This is what the story says.
Never had the divine light gilded more pure depths. Never had two human eyes on Earth been able to see so much azure. She had the unusual profile of rooms in the old paintings, as when we dream of an angel we see it with less beautiful features. One may believe that I exaggerate. But you will know that by chance, before giving birth, her mother gazed upon this Madonna of stone that we see at the Annunziata. Her beauty came from there. This is what the story says.
By her size and her face, Dianora resembled this virginal image so closely that one crossed oneself upon seeing her. She had her plain grace, her forehead shining and blessed. But one also said that like her, the beauty had a heart of stone.
All of Florence celebrated her. Crowds of youth ran to glimpse even a moment’s appearance of her blonde head at the window. The most noble passed in front without trying to seduce her. Unable to obtain a single smile even, the Duke was turned down. The beauty remained cold and proud. The beauty had a heart of stone.
But a small shepherd passed by. This is what the story says. The shepherd, upon seeing her so beautiful and calm, with eyes so soft, believed he saw the eternal Madonna, and fell to his knees. Since that day, he came back and climbed the roof of her house to see the sun and the shadows it made.
The poor shepherd, he thought of this cherished vision and forgot the fields and prairies, and the herd perished. The beauty remained cold and proud. The beauty had a heart of stone.
The shepherd had suffered there so much, he wanted to put an end to his sorrow. He got a mysterious elixir from a gypsy that caused certain death. And deciding to end it all, he wanted to see again the source of all his pain. When he found himself in front of her, he told her, “I love you, and I am dying.”
At this terrible cry, the heart of insensitive Dianora started. Suddenly, an unknown flame ignited the cold statue. She took the hand of the shepherd, already fading, and told him, “Oh, do not die, friend! I love you!” And death had the final word. This is what the story says. Death also returns back to you.
For the strong spirits, sons of blasphemy, who never respect anything, we shall say that the sorceress took air from the poor shepherd to turn poison into clear water. But for all who know how love can break obstacles, will believe that love alone suffices to accomplish such miracles.
FRENCH
Pres de Florence, sous les treilles, Saint Cascia le montre au passant ce villa pleine de merveille, ses maisons au toits rougissants. Dans une paisible famille y fleurissait dans ce temps la une celeste jeunne fille qu’on appelait Dianora. C’est l’histoire qui dit cela.
Jamais la divine lumiere l’avait dore’ de fonds plus pure. Jamais deux yeux humains sur terre l’avait laisser voir tant d’azur. Elle avait le profile etrange des salles dans les vieux tableaux et lorsque nous revons d’un ange nous lui voyons des traits moins beau. On peut croire que j’exaggere. Mais vous saurez que par hazard avant de l’enfanter sa mere avait tout ditonsditons un regard pour cette Madonne de pierre l’on voit a l’Annonziata. Sa beaute lui venait de la. C’est l’histoire qui dit cela.
Dans sa taille et dans son visage, Dianora resemblait tant a cette virginale image qu’on se signait en la voyant. Elle avait sa grace severe, son front rayonnant et beni. Mais on dit que que, come elle aussi la belle avait un coeur de pierre.
Tout Florence la celebrait. La jeunesse en foule a coure’ pour voir un instant apparaitre sa blonde tete a la fenetre. Les plus nobles avaient passe devant elle sans la seduire. Sans obtenir un seul sourire le Duc meme ont fut repousser. La belle reste froide et fiere. La belle avait un coeur de pierre.
Mais un petit berger passa. C’est l’histoire qui dit cela.
La patre, la voyant si belle, si calme avec, des yeux si doux, cru voir la Madonne eternelle et tomba sur les deux genoux. Depuis ce jour, reverissons y nous plus pour tout horizon que l’amble toit de sa maison et pour tout soleil que son ombre.
Le pauvre petit, il pensait a cette vision cherie, il oubliait champs et prairies et le troupeau deperissait. La belle restait froide et fiere. La belle avait un coeur de pierre.
Le berger la de tant souffrir, voulut mettre fin a sa peine. Il tenait d’une bohemienne, un mysterieux elixir qui versait une mort certaine. Et bien decide’ d’en finir, il voulut encore revoir celle d’ou venait toutes ces douleurs. Lorsqu’il se trouva devant elle, il lui dit, “Je t’aime, et je meurs.”
Possible plus a ce cri terrible le coeur jusqu’a l’or insensible de Dianora tresaille. Soudain une flame inconnue allume la froide statue. Du patre qui déjà pallit elle prend la main et lui dit. “Ah ne meurt pas, ami! Je t’aime!” Et la mort a ce mot supreme. C’est l’histoire qui dit cela, la mort aussi te recula.
Les esprits forts fils du blaspheme qui jamais ne respectent rien, dirons que l’honette sorciere l’avait fait prendre au pauvre air pour du poison que de l’eau claire. Mais tous ceux qui savent combien amour a pu briser d’obstacle, croirons que seule il suffit bien pour accomplir de telle miracle.
ENGLISH
Near Florence, under the trellised vineyards, Saint Cascia passed through this villa full of wonder, its houses with reddening roofs. In a peaceful family there flourished at that time a celestial young girl we will call Dianora. This is what the story says.
Never had the divine light gilded more pure depths. Never had two human eyes on Earth been able to see so much azure. She had the unusual profile of rooms in the old paintings, as when we dream of an angel we see it with less beautiful features. One may believe that I exaggerate. But you will know that by chance, before giving birth, her mother gazed upon this Madonna of stone that we see at the Annunziata. Her beauty came from there. This is what the story says.
By her size and her face, Dianora resembled this virginal image so closely that one crossed oneself upon seeing her. She had her plain grace, her forehead shining and blessed. But one also said that like her, the beauty had a heart of stone.
All of Florence celebrated her. Crowds of youth ran to glimpse even a moment’s appearance of her blonde head at the window. The most noble passed in front without trying to seduce her. Unable to obtain a single smile even, the Duke was turned down. The beauty remained cold and proud. The beauty had a heart of stone.
But a small shepherd passed by. This is what the story says. The shepherd, upon seeing her so beautiful and calm, with eyes so soft, believed he saw the eternal Madonna, and fell to his knees. Since that day, he came back and climbed the roof of her house to see the sun and the shadows it made.
The poor shepherd, he thought of this cherished vision and forgot the fields and prairies, and the herd perished. The beauty remained cold and proud. The beauty had a heart of stone.
The shepherd had suffered there so much, he wanted to put an end to his sorrow. He got a mysterious elixir from a gypsy that caused certain death. And deciding to end it all, he wanted to see again the source of all his pain. When he found himself in front of her, he told her, “I love you, and I am dying.”
At this terrible cry, the heart of insensitive Dianora started. Suddenly, an unknown flame ignited the cold statue. She took the hand of the shepherd, already fading, and told him, “Oh, do not die, friend! I love you!” And death had the final word. This is what the story says. Death also returns back to you.
For the strong spirits, sons of blasphemy, who never respect anything, we shall say that the sorceress took air from the poor shepherd to turn poison into clear water. But for all who know how love can break obstacles, will believe that love alone suffices to accomplish such miracles.